samedi 7 septembre 2013

Installation à Albi



Début septembre, c'est l'heure de la rentrée! Sauf que cette année, je n'en ai pas, ça fait tout bizarre! Le fait d'avoir quitté l'EN me donne envie de ne plus jamais y retourner. Rien que le fait de penser à un établissement scolaire me fait froid dans le dos. J'espère n'être jamais obligée d'envoyer Jeanne dans ces murs.
Notre rentrée à nous s'est faite en douceur avec comme grand changement l'emménagement à Albi.
Nous commençons à trouver nos marques dans l'appartement immense où nos meubles semblent minuscules. Il reste du travail pour prendre pleinement possession des lieux. Nous avons rencontré tous les voisins de l'immeuble, grâce aux rencontres faites dans le jardin commun. Résultat, je vais pouvoir jardiner, j'ai de la place. J'ai d'ailleurs acheter en ligne quelques paquets de graines (légumes et fleurs) à semer à l'automne. Et je me rends bientôt à une conférence sur la permaculture, histoire de me renseigner sur le sujet. Oh yeah!
Et attendez, c'est pas tout: on a halluciné par la "hype bobo bio" du Tarn en apprenant que Pierre Rabhi y donne une conférence (malheureusement c'est complet) et qu'Isabelle Filliozat serait présente à Gaillac tout bientôt! Je vous raconterais ça bien entendu...
Florian s'est inscrit à Pôle Emploi. On va demander quelques aides, tout ce qu'on peut toucher sera le bienvenu. Je cherche une asso de parentalité/maternage mais n'en trouve pas. Il y a une structure type Maison Verte de Dolto mais seulement 4 heures par semaine. Sinon, on va investir la ludothèque, la médiathèque, le club de Scrabble, l'Université Pour Tous. On se balade au parc de la Rochegude et dans la vieille ville. Aujourd'hui, fête des associations albigeoises. Demain, balade à vélo le long du Tarn.
Au milieu de tout ça, Bout de Zan commence à faire ses cacas et pipis dans le popo. Les premières nuits dans le nouvel appartement ont été mouvementées mais l'allaitement en cododo a permis à tout le monde de se reposer au maximum malgré les nombreux éveils. BdZ kiffe courir d'un bout à l'autre des vastes pièces mais dès que je suis hors de vue, ça l'effraie. Je n'ose même pas imaginer si je devais partir travailler tous les matins...

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